Tuesday 29 March 2011

Limitless / Sans Limites by / par Neil Burger

The average human being is said to utilize only 15 – 20% of his/her brain capacity. What if a drug was developed that allow one to use 100%. This paranoia-fuelled action thriller, based on the 2001 novel “The Dark Fields” by Alan Glynn, addresses this very premise.
Eddie Mora (Bradley Cooper) is an unsuccessful down and out author. He is under contract to write a novel but can’t even type out the first word and time is quickly being exhausted. His editor is threatening to cancel his contract. He faces being evicted from his apartment and his girlfriend, Lindy (Abbie Cornish) has just broken off with him.
One day Eddie bumps into his ex-wife’s brother, Vernon Gant (Johnny Whitworth). After Eddie explains his situation, Vernon hands him a small clear pill. It is an experimental drug called NZT. Eddie takes the pill. His perception becomes more acute; he is more focused and his skills improve. To procure more NZT, he returns to Vernon’s flat. Upon arriving the door is unlocked and when he enters he discovers that Vernon has been murdered.
Eddie phones 911. While he is waiting he finds $800 plus a stash of NZT which he subsequently takes.
Taking the pills regularly, Eddie completes his novel, learns to play piano, picks up many languages and parlays the $800 into millions on the stock market. The latter attracts the attention of business mogul Carl Van Loon (Robert DeNiro) who wants Eddie to broker a large merger (the largest corporate merger in history.)
The NZT begins to have serious side effects: blackouts, headaches and dependency on the drug. Soon Eddie finds himself pursued by gangsters, police and other shady characters, many of whom are interested in his stash of NZT.
This is a well-crafted thriller with an original thought provoking premise. The star-studded cast gives an engaging performances lending credibility to the plot. The special effects were well done and did not take away from the narrative.

En moyen, l'être humain moyen est dit d'utiliser seulement entre 15 à 20% de la capacité de son cerveau. Que se passe-t-il si un médicament a été développé qui permettent d'utiliser 100 %. Ce film à suspense action alimentés par la paranoïa, basé sur le roman de 2001 «The Dark Fields» par Alan Glynn, aborde cette même prémisse.
 Eddie Mora (Bradley Cooper) est un auteur down and out infructueux. Il est sous contrat pour écrire un roman, mais ne peut pas de même type sur le premier mot et temps est rapidement épuisé. Son éditeur menace d'annuler son contrat. Il fait faces étant expulsé de son appartement et sa petite amie, Lindy (Abbie Cornish) viens de rompre avec lui. 
Un jour, Eddie croise le frère de son ex-femme, Vernon Gant (Johnny Whitworth). Après qu’Eddie lui explique sa situation, Vernon lui remet une petite pilule claire. C'est un médicament d'expérimental  appelé NZT. Eddie prend la pilule. Sa perception devient plus aiguë; il est plus fortement concentré et d’améliore ses compétences. Pour obtenir plus de NZT, il retourne à l’appartement de Vernon. En arrivant, il trouve la porte ouverte et lorsqu'il entre,  il trouve que Vernon a été assassiné. 
Eddie téléphones 911. Alors qu'il est en attente, il trouve 800$ plus une cachette de NZT dont il prend par la suite. Pilules régulièrement, Eddie termine son roman, apprend à jouer du piano, ramasse de nombreuses langues et transforme le 800$ à des millions sur la bourse. Ce dernier attire l'attention du magnat des affaires Carl Van Loon (Robert de Niro) qui veut Eddie à négocier une grande fusion (la plus grande fusion corporatif dans l'histoire).
 Le NZT commence à avoir des effets secondaires graves: des évanouissements, de maux de tête et de dépendance sur le drogue. Bientôt Eddie se retrouve poursuivi par des gangsters, de police et d'autres personnages louches, dont beaucoup sont intéressés à sa cachette de NZT.
 C'est un thriller bien conçu avec un original pensé prémisse stimulante. Le casting prestigieux donne une performance séduisante qui donne une crédibilité a l'intrigue. Les effets spéciaux ont été bien faits et ne prenait pas loin de la narration.




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