Thursday 27 January 2011

Yamla Pagla Deewana by Samir Karnik


A Bollywood cocktail that deftly mixes comedy, romance and music with action and drama that is both colourful and delightful. Paramveer Singh lives in Vancouver, B.C. with his Canadian wife Mary, his two young sons and his mother. He is a Non-resident Indian (NRI) who often tells his two sons that he would love to take them to India to teach them of its culture. This irritates his wife Mary. When Paramveer’s mother tells him that his father, Dharam, abandoned her 30 years ago and with  his younger brother, Gajodhar  to lead a life as petty thieves and con men, he decides to go back to India to bring them back to Canada. They reside in Banaras. He encounters his brother at the Money Exchange Office in Banaras, who cons him out of his money. Paramveer follows Gajodhar to a bar where his father is having a drink. A jeweller, recently conned by the pair, arrives at the bar seeking revenge. Paramveer backs them up successfully.  Gajodhar has fallen deeply in love with Saheba, a Punjabi author. Her brothers, led by Joginder – the eldest, disapprove desiring that she marry an NRI.  Gajodhar, who uses Karamveer as an alias and dons a fake beard, along with Paramveer goes to Punjabi pretending to be NRIs searching to marry. Saheba’s brothers accept yet they say she should marry Paramveer. Every attempt at ‘correcting’ the situation in order to disqualify Paramveer so that Saheba marries Gajodhar fail, thus making matters worse. This gives rise to some hilarious moments as the pair seeks to rectify the situation. Further complications occur, when Dharam shows up and later Paramveer’s wife Mary along with their sons. As well Joginder’s political rival enters the picture to stir up trouble. The musical interludes are delightful as usual.

{Theatrical Release Poster} {L’affiche du Sortie en Salle}

Un cocktail Bollywood qui mêle habilement la comédie, le romance et de musique avec de l'action et le drame qui est à la fois colorés et délicieux. Paramveer Singh vit à Vancouver, Colombie-Britannique avec sa femme Canadienne Mary, ses deux jeunes fils et sa mère. Il est un non-résident indien (NRI) qui raconte souvent de ses deux fils qu'il aimerait les ramener en Inde de leur enseigner de sa culture. Cela irrite son épouse Mary. Quand la mère de Paramveer lui dit que son père, Dharam, les a abandonnés il y a 30 ans et le frère cadet, Gajodhar pour mener une vie des maîtres de voleurs et d’escrocs, il décide de retourner en Inde pour les amener au Canada. Ils résident dans Banaras. Il rencontre son frère au Bureau de change à Banaras, qui lui escroquer de son argent. Paramveer suit Gajodhar dans un bar où son père boire un verre. Un bijoutier, arnaqué récemment par la paire, arrive au bar de chercher à se venger. Paramveer les sauvegarde eux avec succès.  Gajodhar et follement amoureux de Saheba, un auteur Punjabi. Ses frères, dirigés par Joginder – l'aîné, réprouvent en désirant qu'elle épouse un NRI. Gajodhar, qui utilise Karamveer comme alias et enfiler une fausse barbe de dons, avec Paramveer, se rend  à Punjabi faire semblent d’être un NRI qui recherche à se marier. Les frères du Saheba acceptent et pourtant ils disent qu'elle doit épouser Paramveer. Chaque tentative ‘pour corriger’  la situation afin de disqualifier Paramveer afin que les Saheba se marier avec Gajodhar est rater, ce qui empirer les choses. Cela donne lieu à des moments hilarants, la paire cherche à rectifier la situation. Autres complications surviennent, quand Dharam arrive, et plus tard, l’épouse du Paramveer, Mary avec leurs fils. Ainsi, le rival politique de Joginder pénètre dans l'image pour semer le trouble. Les intervalles musicaux sont charmant comme d'habitude.





Friday 21 January 2011

Made In Dagenham by Nigel Cole

The Ford Motor factory in Dagenham, Essex, the industrial heart of England, had a workforce of 55,000 in 1968. Of these, 187 were women. The men worked in the gleaming new plant whereas the women had to work in the dilapidated River plant that had been built in 1920. As well the pay was 50 per cent less than that of the men.  The working conditions in the plant were horrible: no air conditioning, leaky roof etc.  This film is a hard-hitting and powerful account of these brave women who have had enough and set out to demand better working conditions and equal pay. They are led in this by quiet and unassuming housewife, Rita O’Grady (Sally Hawkins). Coerced into attending a meeting between union and Ford’s Head of Industrial Relations, Peter Hopkins, and encouraged by sympathetic union representative Albert (Bob Hoskins), Rita finds her voice and the women go on strike. A compelling heart wrenching drama that points out how difficult it is to correct human injustices. The unwillingness to change the status quo and even blaming the woman for the resulting hardships is clearly brought out (Men loved darkness rather than light). This film is an important documentation of a significant historical achievement.

                 
À Dagenham, Essex, le cœur industriel de l'Angleterre, L'usine Ford Motor avait une main d’œuvre de 55,000 en 1968. De ce nombre, 187 étaient des femmes. Les hommes a travaillé dans la nouvelle usine étincelante tandis que les femmes ont à travailler dans le délabré L’Usine River qui avait été construit en 1920. Ainsi, la rémunération était de 50% inférieur de celui des hommes.  Les conditions de travail dans l'usine ont été horribles : sans l’air conditionné, fuite de toit etc. Ce film est un compte percutante et puissant de ces femmes courageuses qui ont avait suffisamment et énoncés d'exiger de meilleures conditions de travail et un salaire égal. Ils sont conduits dans ce par femme au foyer tranquille et sans prétention, Rita O'Grady (Sally Hawkins). Contraints d'assister à une réunion entre l'union et Ford Head of Industrial Relations, Peter Hopkins et encouragé par le représentant syndical sympathique Albert (Bob Hoskins), Rita trouve sa voix, et les femmes se mettre en grève. Ce  drame déchirant souligne comment  il est difficile de corriger les injustices humaines. La réticence à modifier le statu quo et même blâmer les femmes pour les épreuves liées est clairement mise en évidence (hommes aimés obscurité plutôt que la lumière). Ce film est une documentation importante d'une réalisation historique importante.

Wednesday 19 January 2011

Une Vie Qui Commence par / by Michel Monty


Mise en scène au début des années 60 dans une banlieue de Montréal, que ce drame humain touchant traite de perte comme vu à travers les yeux d'un jeune garçon. Étienne, douze ans (Charles Antoine Perreault) est l'aîné d'une famille de trois enfants de Jacques (François Papineau) et Louise (Julie Le Breton) Langevin. Jacques est un médecin qui semble tout le nécessaire pour être heureux. Il suit les traces de son père Guy (Raymond Cloutier), qui vient d'être nommé directeur de l'hôpital. Un jour, Jacques est perçu par une infirmière de voler des médicaments de pharmacie de l'hôpital. Elle raconte le directeur, qui par la suite suspend son fils indéfiniment. Ce soir-la, Jacques meurt d’une overdose. Louise annule l'ordonnance de sa pierre tombale, comme c'est trop cher. Quand Étienne rend visite à son père au cimetière et découvre qu'il n'y a aucune pierre tombale il obtient très bouleversé et devient obsédé par honorer le nom de son père. Cette obsession mène à un comportement qui est clairement déséquilibré même en finissant par Étienne voler de son grand-père. Un bijou a bien agi de étroitement par script et exquise édité d'un film qui montre clairement que ce réalisateur a une carrière prometteuse avant  lui. Mon appétit a été mouillé pour ses efforts a l’avenir.

Set in the early 60s in a Montreal suburb this touching human drama deals with loss as seen through the eyes of a young boy. Twelve-year-old Étienne (Charles Antoine Perreault) is the eldest of three children of Jacques (François Papineau) and Louise (Julie Le Breton) Langevin. Jacques is a doctor who seems to everything required to be happy. He is following in the footsteps of his father Guy (Raymond Cloutier), who has just been appointed director of the hospital. One day, Jacques is seen by a nurse stealing medication from the hospital’s pharmacy. She tells the Director who subsequently suspends his son indefinitely. That evening Jacques overdoses. Louise cancels the order for his gravestone as it is too expensive. When Étienne visits his father at the cemetery and discovers that there is no gravestone he gets very upset and becomes obsessed with honouring the name of his father. This obsession leads to behaviour that is clearly unbalanced even ending in Étienne stealing from his grandfather. A well acted tightly scripted and exquisitely edited gem of a film that clearly shows that this first-time director has a promising career ahead of him. My appetite has been wetted for his future endeavours.