Sunday 7 April 2013

The Host / Les Âmes Vagabondes by / par Andrew Niccol

 
In a not-too-distant future, the Earth has become a clean, safe, peaceful world, or so it seems. An alien race called ‘the Souls’ have arrived. The human race had nearly been eradicated. The Souls use their bodies as ‘hosts’. They take over their bodies and absorb their memories. Essentially the human is dead. Those who are left, struggle to survive by hiding and avoiding capture from those who are called Seekers.          
The film opens with Melanie Stryder (Saoirse Ronan) jumping out of a window in order to avoid being captured by a Seeker (Diane Kruger). She would rather die than become a host. Miraculously she survives. A Soul named Wanderer is implanted into her body. The Seeker demands that Wanderer   extracts information from Melanie's memory in order to expose other human holdouts, but her consciousness too strong and tenaciously blocks all of Wanderer's attempts.

 
Melanie forces Wanderer to escape and they go back to her family's hideout. At first, her family – which includes her Uncle Jeb (William Hurt), Aunt Maggie (Francis Fisher), 11-year-old brother Jamie (Chandler Canterbury) and boyfriend Jared (Max Irons) – believe that Melanie is now dead and that their desert hideaway will soon be raided and that they and everyone else in the compound will be implanted with an alien. Somehow the consciousness of Melanie is strong enough to convince her family that she is still alive and they do not kill Wanderer. They begin to call her Wanda. Ian (Jake Abel) and Wanda fall in love.   This causes an unbearable rift between Wanda and Melanie, as she still loves Jared. It also triggers in Wanda, a realisation of the true nature of her people’s relationship with the indigenous races of the planets they inhabit.   
A story of how quite often the enemy we cannot see is often the one that is the most threatening – an enemy that approaches its victims with the ‘mask of good’, conquers them and strips them of their identity – in other words, cultural genocide. 

 
Dans un avenir pas trop lointain, la terre, à ce qu'il paraît, est devenue propre, sécuritaire et paisible. Une race extraterrestre appelée 'les Âmes' sont arrivés. L'humanité a presque été éradiquée. Les  Âmes  utilisent leurs corps comme « hôtes ». Ils prennent sur leurs corps et absorbent leurs mémoires. Essentiellement, l'humain est mort. Ceux qui restent, luttent pour survivre en se cachant et en évitant la capture de ceux qui sont appelés les Traqueurs.   
Le film s'ouvre avec Melanie Stryder (Saoirse Ronan) sautant par une fenêtre afin d'éviter d'être capturé par un Traqueur (Diane Kruger). Elle préfère de mourir que de devenir un hôte. Miraculeusement, elle survit. Une Âme nommée Vagabonde est implantée dans son corps. La traqueuse demande a  Vagabonde de extraire des informations de la mémoire de Melanie enfin d'exposer d'autres bastions humaines, mais sa conscience est trop fort et avec ténacité bloque toutes les tentatives du Vagabond.   

 
Melanie forces Wanderer de s'échapper et ils retourneront à la cachette de sa famille. Au début, sa famille – qui comprend son oncle Jeb (William Hurt), sa tante Maggie (Francis Fisher), son frère de 11 ans Jamie (Chandler Canterbury) et son petit ami Jared (Max Irons) – croit que Melanie est maintenant morte et que leur refuge désertique sera bientôt attaqué et qu'eux-mêmes et tous les autres dans l'enceinte sera implanté avec un extraterrestre. En quelque sorte la conscience de Melanie est assez forte pour convaincre sa famille qu'elle est encore vivante et ils ne tuent pas Vagabonde. Ils commencent à l’appeler Wanda. Ian (Jake Abel) et Wanda tombent en amour. Ceci provoque une rupture insupportable entre Wanda et Melanie, comme elle aime toujours Jared. Également ceci déclenche chez Wanda, une prise de conscience de la vraie nature de la relation de son peuple avec les races indigènes des planètes qu'ils habitent.  
Une histoire  comment souvent l'ennemi, qu`on  ne voit pas  est souvent celui qui est le plus menaçant – un ennemi qui s’approche de ses victimes avec le « masque du bien-être », les conquiert et enlève leurs identités – autrement dit, génocide culturel.

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